Je t'apprécie tel le vaste ciel étoilé
De la nuit argentée qui scintille sur la mer ;
Le vol à l'horizon d'un oiseau solitaire,
L'instant sans bruit de son premier battement d'aile.
Ton sourire m'égare, ton regard me fait fondre
Sous tes clins d'oeil discrets qui me font défaillir,
Mes yeux défléchissent ; fléchissant, voulant fuir,
Malgré moi je chancèle, je n'arrive à répondre
Ainsi, de loin, mes rêves posaient des questions,
Dans mes pensées naissaient des espoirs hésitants
Pourtant, à chacun tu donnes toute attention
Alors rien de spécial nous liait ; cependant...
Derrière l'éphémère, une amitié naissante
Ne voudrait se briser par quelque maladresse
Comme une plume fine, que le vent caresse
Quand le temps la berce, avant d'effleurer le sol